Les Bouddhas de Bâmiyân, sculptures syncrétiques, essences de la temporalité, ont été massacrés à mort pour effacer toute trace d’une synthèse bouddhiste.
Seulement qu’avons-nous fait pour sauvegarder ce patrimoine de l’humanité et du temps, non pas l’or et les bijoux mais la pierre des âges, le souvenir des monastères.