6177 - Allegro giusto
Ν. Lygeros
Dès les premières notes
nous reconnaissons
le ton russe comme un thé fumé
malgré la promenade
qui se veut solennelle
mais sans fioritures
comme si l’âme slave
n’avait nullement besoin
de cette rupture
pour se sentir près de la terre
que le soleil ne cesse d’inonder
d’une lumière qui n’est plus rouge.