La proclamation de la ZEE est la prochaine étape après les élections. Nous avons un gouvernement élu et une opposition désormais au courant ou dans la phase finale de l’information, concernant les procédures techniques pour la question de la zone économique exclusive il y a maintenant un consensus général sur sa déclaration. Tout le monde sait maintenant que c’est de manière unilatérale qu’elle est déclarée par l’Etat après présentation du projet de loi par le gouvernement et votée par l’Assemblée. En outre, il s’agit un texte court, qui n’a pas besoin d’un débat compliqué pour être recevable. En fait, s’il y a discussion, et du retard, ce sera uniquement pour des raisons partisanes plutôt que nationales.
La ZEE est par nature une question au dessus des partis et nous ne pouvons accepter aucun retard majeur. Le gouvernement s’est mis d’accord à un triple niveau, pour que la zone économique exclusive constitue une priorité dans les questions de politique nationale. Et dans l’opposition il y a des partis qui font également pression sur ce sujet. Chaque confrontation est seulement artificielle et intérieure. Il n’y a aucun rapport avec un quelconque facteur extérieur. Tout le sujet appartient seulement et seulement au cadre de la décision politique. Il n’y a maintenant aucune difficulté technique ou juridique. Concrétisons donc cela au plus tôt pour qu’il devienne la vision indispensable pour la Grèce. En conjonction avec cette procédure, il faut effectuer des missions d’information à l’étranger pour changer son opinion et de réaliser que notre pays est en train de passer dans une phase dynamique, avec un potentiel direct. Un exemple concret est l’étude sismique qui peut être consultée. La Grèce a la possibilité de signer un contrat avec la compagnie de son choix parce que c’est une question d’intérêt national. Par la suite elle peut garantir la recherche et la cartographie en 3D, la répartition du travail à l’entreprise et lui permettre de vendre les cartes seulement avec sa permission. La société fait d’abord l’amortissement de sa première recherche technique. Et puis ensuite elle garde un pourcentage de l’investissement et un taux pour l’État. Juste de cette façon Chypre a déjà pris 23 millions d’euros, sans rien dépenser. La Grèce peut activer directement le processus approprié après la proclamation. Comme pour l’accord avec Chypre et la société norvégienne, la Grèce peut faire de même et assurer ainsi une intervention neutre pour un avantage immédiat. Tout cela en réponse à la question de savoir si la déclaration fournit un avantage financier et sa rapidité. C’est clair maintenant. Proclamons donc la ZEE directement.