Le Pont de Lyon en 1190
ne put soutenir le poids
de l’armée unie des Croisés
dans sa masse était compacte
et malgré les pertes accusées,
ou peut-être à cause d’elles,
il peut être considéré
comme un symbole des obstacles
qui tentèrent de gêner
la progression de Philippe Auguste
et de Richard Cœur de Lion
dans cette Troisième Croisade
contre la barbarie de Saladin,
qui tenta de libérer
le Royaume de Jérusalem
de sauver la Sainte Croix
car l’accumulation de ceux-ci
représente à maints égards
la caractéristique de cette guerre
mais aussi la pugnacité
des Croisés, des Templiers
et bien sûr des Hospitaliers
à aller de l’avant
même dans les pires conditions
au péril de leur vie
animés par leur foi.