6564 - La critique du premier patricien
N. Lygeros
« Il aimait Drusilla, c’est entendu.
Mais elle était sa sœur, en somme.
Coucher avec elle, c’était déjà beaucoup.
Mais bouleverser Rome
parce qu’elle est morte,
cela dépasse les bornes. »
Avec sa critique,
le premier patricien
tente de réduire à néant
un fait insupportable :
Drusilla est morte.
Et cela est une cause en soi
pour initier le raisonnement
et réaliser l’absurde.
Ensuite tout peut être permis
puisque rien n’a plus de sens.
Comment alors ne pas saisir
l’erreur du patricien
à la recherche d’un bonheur mort ?