« Qui n’est pas habitué à travailler avec véhémence
Ne saisira jamais la beauté qui se meurt. »

Seulement, Vincent pouvait voir
dans la fascination jaune des tournesols
cette douleur particulière
qui s’échappe comme un parfum
du cœur de la fleur
qui n’attendrit personne.
Voilà pourquoi tant d’années
de peintures véhémentes
sont enfin capables de réaliser le tableau
avant que le cœur ne se fane
avant que la beauté ne meure.