2642 - Les entrailles déchirées
N. Lygeros
Nos ventres n’étaient ni heureux ni malheureux,
ils étaient tout simplement ronds,
tendus comme des peaux de tambour
qui ne pouvaient jouer de la musique.
Aussi en attendant la déchirure de nos entrailles
nous entonnâmes le premier chant de la liberté.