1556 - À l’autre qui ne peut être autre
N. Lygeros
Traduit du Grec par A.-M. Bras
Quand j’ai regardé tes yeux de pierre
Je vis la citadelle vide de ton âme
Et compris alors ta solitude.
Toi qui ne peux devenir un autre,
Ouvre tes mains pour qu’y prenne place
Le monde.
Tant que tu seras seul, même si tu es le seul,
Tu nous manqueras.